mardi 24 septembre 2019

Les Boileau-Castelneau une famille dans les tourmentes de l'Histoire


Les Boileau-Castelnau une famille dans les tourmentes de l’Histoire

(Etienne Boileau ? -Statue Hôtel de Ville de Paris). 


Des familles sont plus marquées par l’Histoire que d’autres. Un exemple parmi tant d’autres, la famille Boileau-Castelnau. Elle aura un domaine  dans le diocèse d’Uzès, mais  que de péripéties dans le vent de l’Histoire !!. . Encore aujourd’hui le château de Castelnau-Valence vit avec des descendants de cette famille.

Le premier chef de famille que nous avons rencontré, Matthieu Boillesve est d’Orléans, né au 12ème siècle. Les patronymes ne sont pas encore bien fixés. Il a trois fils connus, dont Etienne, né en 1205 à Orléans. Nous n’avons pas le nom de la mère.
Etienne épouse en 1225 Marguerite de Gueste. Ils auront au moins deux fils Robert et Foulques. Etienne est prévôt d’Orléans, puis le roi Saint-Louis le nomme à Paris, premier prévôt royal de 1261 à 1271, date de son décès à Paris.
Il s’engage avec les compagnons du roi pour la septième croisade, celle de 1248 à 1254, prêchée au Concile de Lyon. Il embarque le 25 août à Aigues-Mortes. Il a les moyens de s’équiper pour l'épopée, donc relativement aisé. Sa descendance est assurée, donc il peut partir.
Le 6 juin 1249 Damiette est prise par les croisés. Puis c’est la bataille de Mansourah le 8-11 février 1250. Cette ville est la seule à protéger Le Caire. Les Ayyoubides pour la défendre bloquent les croisés sur un bras du Nil. Pendant plus d’un mois les croisés échouent dans leurs tentatives de franchissement du Nil. Puis grâce à une complicité, le 8 ils arrivent à leur fin. Les Templiers recommandent la prudence, mais Robert d’Artois, le frère de St Louis, mal conseillé par Fourcaut du Merle, se jette avec son avant-garde sur les Turcs. Ils sont suivis par les Templiers de Guillaume de Sonnac, les Hospitaliers de Jean de Ronay. Sans attendre le gros de l’armée franque, ils traversent le camp sarrasin, l’émir Kahreddin est tué, et les croisés entrent dans la ville par surprise. Mais les Turcs repris en main par leur chef Baybars, réagissent et les assaillants sont tous massacrés, seuls quelques chevaliers s’en sortent vivants. Une nouvelle bataille décisive le 11 février ; les Turcs utilisent le feu grégeois. De nombreux chevaliers vivent l’enfer, sont massacrés par l’ennemi.  Etienne Boileau est fait prisonnier ; le roi va le racheter et lui éviter ainsi la mort ou l’esclavage.
Charles d’Anjou est sauvé, mais Robert d’Artois est tué ainsi que le grand maitre des Templiers, Guillaume de Sonnac et Jean de Ronay des Hospitaliers. La victoire est pour les croisés mais à quel prix ! Louis IX essaie de négocier, Damiette contre Jérusalem, en vain. Mi-mars la flotte franque est détruite ou capturée, isolant les troupes du roi d’une éventuelle retraite vers Damiette.
Les blessés sont massacrés par les musulmans, puis Louis IX réussit à échanger le vie et la liberté des croisés prisonniers contre 500 000 livres tournois. Les Templiers refusent de faire l’avance de la somme, qui sera finalement prise de force par le sénéchal de Joinville. Le roi quitte l’Egypte le 8 mai et se retrouve le 13 à Saint-Jean-d’Acre. Il y restera jusqu’en avril 1254, malgré l’insistance de sa mère Blanche de Castille et les conseils des barons qui veulent rendre chez eux. Les hommes souffrent ou ont souffert de disette, de scorbut ; les blessures sont nombreuses, le moral au plus bas.





Saint Louis guerroyant aux côtés du Comte d'Artois, son frère, et du Baron Malet de Graville, chevalier l'ostel du Roy. Sources Inconnu-BNF Gallica ARK btv1b8447303m/f207
De retour au pays, Etienne Boileau reçoit la première magistrature de Paris vers 1254. De 1261 à 1271 il est le premier prévôt royal connu de Paris. La fonction est différente de celle de prévôt des marchands. Il doit remettre de l’ordre dans la ville. Etienne va réprimer les abus, rétablir les revenus royaux, et réorganiser les corporations d’arts et de métiers. On lui doit en 1268 « Le Livre des Métiers » un recueil de statuts de métiers parisiens. On y trouve les coutumes et règlements, les octrois perçus et les juridictions de Paris. Dans la ville 101 corporations de métiers !! Ce livre sera publié pour la première fois en 1837, faisant la joie des historiens.
Etienne Boileau installé au Grand Châtelet, a un salaire de 300 livres par an. Il est à la fois, receveur des finances, officier de police, juge, administrateur.
Le 1er juillet 1270 c’est le départ d’Aigues-Mortes pour la 8ème croisade. Robert l’un des fils d’Etienne Boileau y participe et va y mourir à 42 ans en 1277 à Tunis. Robert est né à Paris en 1235. On ne connait pas son épouse. Ils ont au moins un enfant  Jean (1270-1352).
Louis IX en mars 1270 reçoit l’oriflamme pour la 8ème croisade. Il laisse l’administration du royaume à Mathieu abbé de Saint Denis et à Simon sire de Nesle. Les croisés arrivent à Tunis, ancienne Carthage, le 18 juillet. Le roi de Sicile Charles d’Anjou, frère de Louis IX n’est pas au rendez-vous promis. Les Turcs en profitent pour se préparer. Pendant ce temps la canicule, les maladies, choléra, dysenterie, les fièvres ravagent le camp des croisés. Le roi de Navarre, le légat du pape, Jean-Tristan, fils de Louis IX tombent malades, puis le roi lui-même. Sentant la mort proche, il recommande à son fils le futur Philippe le Hardi (1245-1285) de faire respecter la religion et ses ministres. Une trêve de quinze ans est conclue et fin octobre 1270, la suite du roi est ramenée en France. Saint-Jean d’Acre tombera en 1291 mettant fin à la présence européenne en Terre Sainte.
Robert meurt sept ans après son souverain à Tunis en 1277.

Son fils Jean nait à Paris en 1270. Son père l’a-t-il connu avant son départ pour Tunis ? Jean décède en 1352 à Paris, à 82 ans. Nous ne connaissons pas son épouse. Ils ont un fils nommé aussi Jean né vers 1300 et décédé à Paris en 1380, à 80 ans.  Ce dernier sera semble-t-il le premier baron de la famille anoblie par le roi Charles V. Une noblesse qui va se construire sur le sang de leurs aïeux.
Ce Jean a un fils aussi prénommé Jean né vers 1330 et décédé en 1396 en Bulgarie à Nikopol à l’âge de 66 ans. C’est le deuxième baron de la famille.
Il aura eu le temps d’avoir un fils Regnaud en 1355 qui décédera en 1400.

25 septembre Bataille de Nicopolis

25 septembre : Bataille de Nicopolis.

Le 25-28 septembre 1396 les croisés sont vaincus à Nicopolis sur le Danube par les Turcs. Le roi de Hongrie Sigismond et l’empereur de Byzance Manuel Paléologue sont attaqués par les armées turques du sultan ottoman Bayazid 1er et les Serbes de Stefan Lazarevic.. De nombreux seigneurs français sont faits prisonniers dont Jean Sans Peur fils du duc de Bourgogne. Ils représentent l’espoir d’une rançon et ont la vie sauve. La légende ou l’Histoire dit que 300 chevaliers nus sont poussés devant le sultan ; ils déclinent leur nom et leurs ressources. Les insolvables ou récalcitrants sont immédiatement décapités. Jean de Nevers âgé de 25 ans héritier du duché de Bourgogne aura la vie sauve contre 200 000 florins que ses sujets devront payer !! Son imprudence, sa gloriole seront récompensées : il devient « Jean sans peur ».

Jean sans Peur sera tué en septembre 1419 sur le pont de Montereau-Fault au cours d’une entrevue qu’il a avec le futur roi Charles VII. Pour venger l’assassinat de Louis d’Orléans en 1407 et pour empêcher un rapprochement du dauphin de France avec le parti bourguignon. Montereau-Fault où les Boileau ont un domaine.

  Le fils de Jean, Regnaud Boileau, 3ème baron, naît en 1355 à Paris. Il est nommé Trésorier Royal de la sénéchaussée de Beaucaire et Nîmes en 1390 sous le règne du roi Charles VI le Fol. Il est chargé de construire le château de Nîmes. Il est le premier de la famille à habiter en Languedoc. Il obtient la permission de porter un croissant dans les armes de la famille en reconnaissance de la bravoure de son père en Bulgarie. Il décède à Nîmes en 1400 à 45 ans. Il change son blason, pour porter « d’azur, au château d’argent sommé de 3 tourelles d’or, ouvert du champ, maçonné de sable soutenu d’un croissant d’or ».  Armes que sa descendance adopte.
Il a au moins un fils Antoine (1381-1459). Il nait à Nîmes et y décède à 78 ans en 1459. Il est le 2ème trésorier royal de Nîmes et Beaucaire. Il succède à ce poste à son père en 1400. Il est le 4ème baron de la famille. On ne connait pas le nom de son épouse.
Ils ont un fils Guillaume, seigneur d’Argenteuil (1420-1494). Il nait à Montereau-Fault-Yonne, mais décède à Nîmes le 6 septembre 1494 à 74 ans. Il est lui aussi trésorier du domaine royal de Nîmes et Beaucaire, le 3ème de la famille. Nîmes-Montereau, des kilomètres, des voyages…La famille a encore un domaine à Montereau.
Guillaume se marie le 21 septembre 1470 à Bourges avec Etiennette Bourdin (décédée en 1506), fille de Jean Receveur Général du Poitou. Ils ont onze enfants.
Guillaume vend Montereau-Fault et s’installe à Nîmes en 1494. Sur sa tombe, l’inscription : : "à la mémoire bénie du Sieur Guilhaume Boileau, trésorier de notre respecté roi. Son fils, aussi trésorier, a construit ce monument avec une chapelle pour lui et sa famille, dans l'année de notre seigneur 1494, en septembre. Priez pour le mort, qu'ils reposent en paix". Pour un autre auteur l’inscription latine se situait dans la maison nîmoise de la famille sur la tombe de Guillaume :  "à la mémoire très chère du seigneur Guillaume Boileau, Trésorier de son Altesse, notre Roi. Le seigneur Antoine Boileau, son fils, également Trésorier Royal, fit édifier cette tombe dans une chapelle pour lui-même et sa famille en l'année 1499 de notre Dieu, en septembre. Priez pour les morts, puissent-ils reposer en paix. (NB Promethée)
Il apparait dans les archives de Nîmes en 1498. La famille de par ses fonctions, va devenir de grands propriétaires terriens et s’allier à la noblesse languedocienne, les Montcalm, de la Croix, Rossel, Airebaudouze, Rochemore…..
Les enfants : Guillaume protonotaire du Pape, Prieur de Saint-Nicolas-Lès-Uzès ; Jean-Guillaume conseiller à la Cour de Montpellier ; Nicolas conseiller au Grand-Conseil ; Agnès décédée en 1503 épouse de Pierre de Rochemaure ; Catherine épouse de Jean de Ganay Chancelier de France ; Etiennette épouse de Jacques de Valette seigneur de Fontesc ; Claudine mariée à Jean de Laudun….. Et Antoine II Boileau.
Antoine II nait en 1470 à Nîmes et décède vers1534 à 64 ans de cette ville. Il est seigneur de Castelnau et Sainte-Croix de Boirac. Evidemment il est trésorier et receveur ordinaire en la sénéchaussée de Beaucaire et Nîmes, après son père en 1494, office transmis par le roi Charles VIII, puis confirmé par Louis XII en 1498 à Senlis et en 1513 à Valence. Puis François 1er le réaffirme dans la fonction en 1515 à Paris.
Il épouse en 1497 Françoise Trousselier ; un fils Jean III Boileau de Castelnau (1500-1560), deux filles Catherine et Etiennette. Françoise est la fille héritière du docteur Jean Trossellier (Troussellière) conseiller et médecin principal de Charles VIII. Le pape Léon X reconnait Antoine et ses descendants comme nobles en août 1516.
Le domaine de Castelnau de la Garde et de St Croix de Boiriac est acheté en 1500 par Antoine au comte Secoudin de St Félix pour 400 livres. (- titres justificatifs : lods d'Antoine Boileau, trésorier royal pour l'achat de Castelnau sur Secondin de St- Félix, moyennant 400 livres t. acte devant Jean de Costa, notaire de Nimes, 5 février 1500-1505 - Lods et investiture avec reconnaissance ati roi par Arnaud de St-Félis:, seigneur de Castelnau pour l' achat de Ste-Croix-de-Borriane, 30 avril 1488 –Chartrier de Castelnau 121)-




Jean III Boileau de Castelnau : né à Nîmes en 1500 et décédé le 29 mars 1560 à Amboise à 60 ans. Trésorier et receveur de Nîmes, mais impliqué dans les guerres de religion(s), le premier à embrasser le protestantisme. En 1551 il est dans le rôle des montres des nobles de la sénéchaussée de Nîmes.
Mais il participe à la conjuration d’Amboise, est fait prisonnier par le duc de Nemours et il est décapité devant le château d’Amboise le 29 mars 1560. La conjuration d’Amboise appelée aussi le « Tumulte d’Amboise » a pour but d’enlever le roi François II pour le soustraire à la tutelle de la famille des Guises. Des gentilshommes de tout le pays se rallient à ce projet. Les pasteurs, Jean Calvin en tête sont contre cette voie de la violence et condamnent le projet des conjurés. Gaspard de Coligny refuse que la noblesse de Normandie s’associe à la conjuration. Le Prince de Condé ne participe pas mais en attente à Orléans espère recueillir les fruits du complot. Il y gagnera le surnom de « capitaine muet ». Des bourgeois d’Orléans, de Tours, de Lyon s’associèrent au plan.
(L'exécution des conjurés.
Gravure de Frans Hogenberg d'après Tortorel et Perrissin
)
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Les Guises sont avertis par des fuites. L’attaque des huguenots se solde par un échec, puni avec une extrême sévérité : les conjurés sont pendus aux balustrades du château, noyés dans la Loire ou massacrés par la foule. Cet événement ouvre la triste période des guerres de religion (1562-1629).
Jean III était marié depuis le 6 février 1538 à Bagnols sur Cèze avec Anne de Montcalm Gozon (1515-1596). Peu d’archives sur sa vie. Peut-être la tragédie d’Amboise n’a pas donné envie de conserver des traces de Jean III. Ses enfants, probablement 6, toujours et malgré tout bien mariés : Jean qui suit, Claude mariée à Jean-Jacques de Lageret seigneur de Caillargues, Guillemette-Gabrielle épouse le 17 août 1562 d’Antoine Barnier conseiller au Présidial de Nîmes (mariage protestant) et  co-seigneur de Sueilhes, Anne-Marie mariée à Guy de Bons(Bony) fils de l’Intendant de Roussillon, ….
Son fils Jean nait le 22 août 1545-48 à Nîmes et décède le 10 mai 1618 à 69-72 ans dans cette ville. Un historien le fait naitre à Saint-Julien-du-Tournel en Lozère, lieu où il décéderait aussi. Un premier mariage le 25 juillet 1571 pour Jean  avec Honorade Le  Blanc de La Rouvière-Fourniquet (Honorade de Blanchon dame d'Airan) qui décède rapidement et lui laisse une fille. Le contrat de mariage est signé à Saint-Julien du Tournel. Honorade est issue d'une vieille famille d'Uzès.
La famille des Le Blanc de vieille noblesse, à l’époque possédait le domaine d’Ayran avec sa source qui se jetait dans la rivière de l’Eure. Le père de la mariée est juge des « conventions royaux ».
Jean est 1er Consul de Nîmes en 1605 et syndic du diocèse. Il se marie le 15 octobre 1576 à Nîmes avec Rose de Calvière de Saint-Côme (1558-1644). Le père de Rose, Nicolas de Calvière seigneur de la Boissière et gouverneur de Nîmes en 1580, gentilhomme de la Chambre du roi en 1581. Douze ou treize enfants pour Jean et Rose, dont un fils Nicolas (1578-1657).
La famille est toujours protestante, va vivre la St Barthélémy en 1572 et les guerres de religions dans notre région. Le Connétable de Montmorency en 1596 lui ordonne de le rejoindre avec son équipage dans le Haut-Languedoc. En 1594 il se présente à la convocation de l’arrière-ban. En 1600 les protestants de Nîmes le font député pour l’assemblée relative à l’exécution du l’Edit de Nantes de 1598.
Il décède à 69-72 ans, âge relativement jeune dans cette famille lorsque l’on ne meurt pas dans son lit. A-t-il fait un séjour en Angleterre : un Boileau de Castelnau est inscrit sur The Roll of the Huguenots settled in the United Kingdom dans la chapelle des huguenots français de la cathédrale de Canterbury (16ème siècle). Il va perdre plusieurs de ses fils dans les batailles de l’époque.
Ses enfants, probablement 12 ou 13 : Nicolas l’ainé qui continue la descendance ; Jean sergent-major en Piémont mort à Candel ; Claude capitaine au régiment de Montpezat tué au siège de Cérizolles en 1616 ; Daniel tué à la bataille de Prague en 1620 ; Guillaume époux de Rose de Falcon ; Jacques, médecin (et avocat ?) époux d’Armande de Rossel et branche des Boileau d’Uzès qui sera consul d’Uzès de 1610 à 1620…
C’est encore le temps de l’espoir, de vivre sa religion tranquillement, d’avoir un roi qui écoute le peuple. L’Edit de Nantes va apporter un temps cet espoir de tolérance sinon de liberté. Nous verrons sur ce blog dans quelques semaines que le 17ème siècle sera le temps du désespoir, de l’incompréhension, des interdictions, du départ, de l’exil….

Château de Castelnau

-- Sources :Auguste Geffroy, « Boileau (Étienne), ou Boilesve ou Boileaux » [archive], dans Charles Dezobry et Théodore Bachelet, Dictionnaire général de biographie et d'histoire, de mythologie …, 10e  éd., t. 1, C. Delagrave, 1889, p. 333.-- Antoine de Lévis-Mirepoix, Saint Louis, roi de France. Le livre des métiers d'Étienne Boileau, Paris, Michel, coll. « Le mémorial des siècles, les hommes », no 13, 1970, 373 p.6-- Arié Serper, « L'administration royale de Paris au temps de Louis IX » [archive], dans Francia, 7, 1979--Jean de Joinville, La vie de Saint Louis, Paris, Dunod, 1995--- Régine Pernoud, Les Hommes de la Croisade, Mayenne, Taillandier, 1977.-- Frères Haag : La France protestante--  François-Alexandre Aubert de la Chesnaye des Bois Généalogie des Boileau de Castelnau—généanet – wikimedia.org--Huguenot pedigrees, v. 02Edité en 192 4--Source: FamilySearch---Nobiliaire universel de France, ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume Auteur : Nicolas Viton de Saint-Allais-- Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle - T5Auteur : Chaix d'Est-Ange, Gustave Gallica BNF ---).- Les chiffres de M. l'abbé Rouquette : Étude sur les Fugitifs du Languedoc (Uzès), Société de l'Histoire du Protestantisme Français. Bulletin, LXIe année, 1912, pp. 237-258--

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