François 1er
et le Languedoc
(François 1er Marignan anonyme - in
André Castelot François 1er édit Perrin 1999)
Le roi François 1er (1494-1547) est un monarque flamboyant, qui aime briller, supplanter ses adversaires. Il
n’est pas le fils du roi précédent, Louis XII, mais son cousin au 4ème degré, donc
il doit faire ses preuves. Surtout qu’avant de devenir roi, il parait à ses contemporaints un peu
écervelé, immature, trop sûr de lui. François duc
d’Angoulême joue de sa prestance, beau cavalier, large de carrure. Il aime la
chasse, le luxe, les femmes. Sa mère, autoritaire et possessive, est très
présente dans son enfance, dans la préparation de son avenir. Sa sœur
Marguerite l’adore. Il a vingt ans et quatre mois lorsqu’il monte sur le trône
à la mort de Louis XII le 1er janvier 1515. Mais dès le début de son
règne, il s’entoure de personnalités efficaces. Il prend pour emblème la
salamandre, animal un peu magique, symbole du pouvoir sur le feu, donc sur les
hommes et le monde. Il dira : « Je
voudrais bien voir la clause du testament d’Adam qui m’exclut du partage du
monde."
La bataille de Marignan
lui apporte succès et gloire dès le début de son règne. Mais François a un
défaut : il est très dépensier.
La France est riche en cette période, active, peuplée et les ressources
engrangées sont importantes. Mais l’entretien de la cour (jusqu’à 15 000
personnes) et d’une armée de mercenaires, les constructions royales, coûtent
très largement plus que les recettes. Le roi toute sa vie sera sans cesse à
court d’argent, malgré des impôts lourds dont la taille et la gabelle. Et puis
trop de privilégiés échappent injustement à l’impôt. Alors le roi va demander
plus et en particulier aux habitants du Languedoc, province riche d’artisans,
de blé. Le pays exporte ses céréales, ses vins, du sel, ses tissus… On part
travailler en Espagne, paysans et artisans, contre de belles monnaies qu’envoie
l’Amérique du Sud. François 1er va aussi anoblir des bourgeois qui lui rendent
service et s’en faire des affidés. Il cherche du côté du Saint Laurent au
Québec et en 1534 Jacques Cartier part explorer
« certaines
îles et pays où l'on dit qu'il se doit trouver grande quantité d'or et autres
riches choses ». On fait
flèche de tout bois pour remplir les caisses de l’Etat. (Rien de nouveau en ce bas monde !!)
En 1522 et en 1523 François
Ier avait demandé aux Etats du Languedoc de grosses sommes d’argent (59 000 et 25 000 livres ). Ses
guerres contre Charles-Quint ruinaient le trésor. On a vite oublié que Marignan
pourtant une victoire pour nous, avec la paix de Fribourg de 1516, nous coûte
selon les sources 700 000 à un million d'écus d’or, indemnité fabuleuse
donnée à nos ennemis suisses vaincus !! Une paix perpétuelle est signée :
les Suisses s’engagent contre monnaie trébuchante à ne plus servir dans des armées qui feraient la guerre
à la France, mais on les embauchera comme mercenaires dans nos troupes.
François
1er voulait donner l'impression d'être "grand seigneur", au-dessus
des comptes d'apothicaires ! Homme plein de paradoxes, très différent de son
prédécesseur Louis XII qui disait :"J'aime beaucoup mieux les faire rire de mon
avarice que de faire gémir mon peuple de mes profusions"....
Le roi rappelle les
éléments qui permettent de faire de Mathieu un noble : il a bien servi le
royaume et il possède quelques biens. Il y est fait référence à des deniers
donnés au roi («prêter
nous dit le texte d’anoblissement ? »
probablement à fonds perdus !),
pour payer la rançon du roi captif de Charles Quint ou bien pour financer les
guerres d’Italie ?. Quant aux biens nobles qu’il possède, il s’agit d’une
petite olivette dans le village de Lédenon sans dépendances achetée le 26
septembre 1528, terre qui "autrefois était décorée du titre de baronnie».
Le
titre de baron avait perdu au cours des siècles de sa superbe. Les barons au
départ étaient de grands vassaux formant la cour judiciaire du roi. Encore à
l'époque de Philippe-Auguste au XIIème siècle. En Languedoc ce titre désignait
un fief important. Mais au 15ème siècle les barons se retrouvaient au quatrième
rang dans la hiérarchie seigneuriale. Théoriquement par les édits de Charles IX et
d'Henri III, petits-fils de François Ier, pour autoriser l'érection d'une
baronnie il fallait avoir au moins trois châtellenies ou clochers, c'est-à-dire
trois domaines distincts.
Donc notre Mathieu le
Jeune au moment de son anoblissement était plus proche de la roture que de la
noblesse !! Dans ses lettres d'anoblissement il est fait mention de "grâce
spéciale" de la part du roi François 1er. Quels sont les services rendus
au roi et au royaume ? Mathieu a-t-il été page, chevalier
et écuyer chez quelque noble de la région et militaire au cours d'une des
guerres de François 1er, Marignan et autres guerres d'Italie ?
Dans les lettres
d'anoblissement il est fait mention de service "tant de sa personne à
l'encontre de nos ennemis et adversaires". On imagine Mathieu plus en
bourgeois-marchand, ce qu'était sa famille, qu'en foudre de guerre. Mais nous ne savons pas ce qu'il a
fait avant sa trentième année. Il est vrai aussi que son grand-père était un
riche maître-drapier, métier où l’on rencontrait beaucoup de monde et du beau,
français ou étranger, un peu facteur discret, un peu espion.
Toujours dans les lettres
d'anoblissement, il est fait référence à des sommes d'argent "prêter"
pour subvenir aux grandes affaires du royaume. Cela nous parait plus dans ses
cordes. La famille de Bargeton a dû comme d'autres, participer à la rançon de 2
millions d'écus lors de la paix de Dames de 1529 pour racheter la libération de
François 1er.
L’anoblissement
de Mathieu a été signé à Marseille en novembre 1533. Pourquoi pas à Uzès où le
roi François 1er était présent au début de cette année-là ?
Mais le 28 octobre 1533 avait lieu à Marseille le mariage de Catherine de
Médicis et d’Henri, deuxième fils de François Ier. Etaient présents pour
l’occasion le pape Clément VII venu les marier et les représentants de Henry
VIII d’Angleterre. Les envoyés de ce dernier étaient là pour faire annuler l’excommunication de leur roi. La
cour de France est à Marseille, avec la fine fleur européenne.
Les lettres
d’anoblissement modifient l’image traditionnelle de la noblesse : celle-ci
devient un état, une qualité sociale que confère le roi à ceux qu’il veut
distinguer. Ces nouveaux nobles se placent au sommet de la hiérarchie sociale
sans avoir été adoubés. Ils porteront le titre de seigneur, d’écuyer, pourront
acquérir des terres nobles sans avoir à payer la taxe de franc-fief. Ils
devront vivre noblement, ne pas déroger en se livrant à une activité marchande.
L'acte d'achat de
l'olivette de Lédenon qui permet l’anoblissement de Mathieu de Bargeton, est signé dans le cellier de
l'acheteur selon la coutume languedocienne de l'époque. Les deux parties, le
vendeur Petrus Brunelli (Pierre Brun) et Mathieu Bargeton étaient sur place
dans la cave (apotheca) à vin pour y boire "le vin du marché".
L'achat de cette terre qui fut une baronnie est la première marche de la
dynastie Bargeton vers la noblesse. La coutume de conclure une
vente par un verre de vin se perpétuera jusqu'au 20ème siècle.
L'armorial d'Hozier nous
indique que les lettres d'anoblissement de Mathieu sont scellées à la cire
verte, expédiées à la Chambre des Comptes et enregistrées au Livre des Chartres
n°91. Trois cents écus d'or sont payés au Trésor en mai 1534 pour finaliser
l'opération. De nombreux bourgeois vont être anoblis à cette période et vont
ainsi remplir les caisses sans fond de l’Etat.
Nous avons du mal à
évaluer ce que représente cette somme. L'"écu au soleil" va fluctuer
tout au long du siècle. L'afflux incontrôlé d’or en Espagne entraîne une
inflation très préjudiciable à l'économie des pays européens. A partir de
1570-74, sa valeur est un peu plus stable grâce à une politique
anti-inflationniste. Difficile de comparer. Il semble pourtant que les 300 écus
d'or représentaient une somme rondelette.
Les droits seigneuriaux (fief principal avec les trois justices) sur
Vallabrix rapportent 10
livres par an soit un peu plus de trois écus d'or. En
1565, dix bœufs dontés (domptés, dressés) et aratoires (pour le labour) coûtent
92 écus d’or.
Lettrine Mathieu de Bargeton |
Le roi lui-même depuis
novembre 1531 avec toute sa suite fait son "Grand Voyage de France"
qui se terminera en hiver 1534, visitant et se faisant voir dans toutes les
provinces. Pour les rois comme pour les seigneurs il était important de
rencontrer et connaitre ses sujets, réveiller le loyalisme, rappeler
l'autorité, et puis voir par soi-même ce qui n'allait pas.
François 1er sera souvent
dans notre région, jusqu’en juillet 1538 lors de la rencontre avec Charles Quint à
Aigues-Mortes. Charles de Crussol sera de cette entrevue avec les seigneurs
d'Uzège dont un de Bargeton, Mathieu probablement, ses fils étant trop jeunes
ou peut-être pas encore nés pour certains. Sous la houlette du pape Paul III,
Charles Quint et François 1er avait signé à Nice une trêve de dix
ans en juin 1538. Charles Quint de retour en Espagne aborde l’Ile Sainte
Marguerite sous prétexte d’une tempête et propose à François 1er , à
Avignon à ce moment-là, une rencontre à Aigues Mortes. Il faut faire vite. La
cour de France est invitée à Vauvert dans un premier temps, puis à
Aigues-Mortes.
Les consuls de la petite
ville, dont le Premier Consul Franc de Conseil, votent en urgence les fonds
nécessaires : d'abord un emprunt auprès des notables de la
ville de 850 livres remboursables sur cinq mois, pour le reste on verra plus tard. Le roi sera logé chez le
Premier Consul. Le connétable Anne de Montmorency gouverneur du Languedoc est
chargé des préparatifs.
A l'occasion de la rencontre François Ier
et Charles Quint, selon la formule de l'époque "sous peine de fouet",
6000 pains, 30 barriques de vin, seront
fournis par les habitants. Les chasseurs, les pêcheurs sont invités à apporter
gibiers et poissons. Dans le Catalogue des Actes de François 1er (BNF Maréchal Paul), quelques actes
indiquent les sommes déboursées par l'Etat. Charles de Vaux viguier d'Uzès
reçoit 56 livres
pour ses achats en fruits et primeurs pour le festin prévu. Il va
d'Aigues-Mortes à Perpignan pour s'approvisionner. Guillaume Vallette
chevaucheur d'écurie reçoit 33
livres 15 sous pour aller en poste (en voiture) de
Vauvert à Marseille rejoindre le Comte de Tente et les capitaines de galères
pour "réception de l'Empereur et sa conduite à Aigues Mortes. (archives nat BNF31463 p237 T3 -31465
juillet 1538). Pour les frais de voyage des valets de la garde-robe du roi,
112 livres ,
pour le déplacement du maître-queux de la cuisine de bouche, 45 livres . Le barbier et
valet de chambre du roi René Pintret, reçoit 225 livres pour divers
services et ses frais de voyage.... 100 livres pour le lieutenant d'Arles et le
viguier de Nîmes de salaires et vacations pour les préparatifs de l'entrevue,
préparatifs et ravitaillement des galères coûteront au Trésor 3 074 livres 10 sous 2deniers, selon Jean Picart
«responsable». (31466 à 31490 T3-
archives nationales -BNF). Nous voyons que les domestiques royaux sont
particulièrement bien payés.
Lorsque
le roi arrive le soleil est de la partie. Les habitants sortent de la ville
pour accueillir le cortège. Prestige, beauté des costumes… les consuls de la
ville attendaient le cortège à la porte principale, revêtus de leurs robes
brodées de velours et coiffés de leur chaperon. 300 arquebusiers armés et payés
par la ville servaient d’escorte. Le sire de Clermont seigneur d’Aigues-Mortes
présente le Premier Consul au roi à qui on remet les clés de la ville.
Harangue, salutations, remerciements…. Le roi descend de cheval et vient se
placer sous un dais de velours rouge, son épouse la reine Eléonore d’Autriche sous un dais
de velours blanc. Et c’est la déambulation dans les rues de la ville, tendues
de toiles qui protègent du soleil. La cour est là, Catherine de Médicis femme
du dauphin, Henri de Navarre futur Henri IV, son épouse, Marguerite la sœur du
roi, le duc de Lorraine, le duc de Guise son frère….cardinaux, évêques,
président du Parlement de Paris…. Le dauphin et ses frères n’arrivent que le
lendemain.
Ce 14 juillet l’Empereur
Charles Quint entre dans la rade avec 52 galères dont 21 de France. Une
première entrevue sur l’eau et sur le bateau de l’Empereur, entrevue en
français. Le lendemain 15 juillet l’Empereur entre dans la ville à 9 h par la
porte de la Monnaie au son des fanfares et des tambours, de l’artillerie de la
ville et des bateaux.
On mangea des huîtres
qu’on trouva si bonnes qu’on ne cessa d’en redemander. La digestion lourde,
Charles Quint gagna sa chambre dans la maison du sieur Chambaud de la Rivière
par une galerie qui traversait la rue en guise de pont, galerie nouvellement percée pour
l’occasion. La chambre était décorée d’une tapisserie en cuir gaufré
représentant des oiseaux becquetant des fruits, des feuillages et des plantes.
Un lit avec un baldaquin de soie dont la bordure et les rideaux étaient en
franges ornées de perles fines de grand prix….
Histoire Populaire
d’Aigues-Mortes » de Nicolas Lasserre
François 1er donna à son invité une bague
ornée d’un diamant de 30 000 écus, l’Empereur mit au cou du roi son cordon
de la Toison d’Or, et en réponse François 1er passa au cou de
Charles son collier de la Croix de St Michel. On but beaucoup au cours de ces
entrevues. Les deux monarques prirent des engagements qu’ils oublieront
rapidement. La France garde la Bresse, le Bugey et les deux tiers du Piémont, l’Empereur
conserve le Milanais.
Charles Quint déclara en partant le 16 juillet que
« jamais en aucun lieu il n’avait passé d’aussi agréables journées". La
guerre entre les deux hommes et les deux royaumes recommença en 1542, 4 ans
seulement après Aigues-Mortes. Un an après l’assassinat de Rincon ambassadeur de
François1er auprès de Soliman.
François 1er
passa encore une nuit à Aigues-Mortes et repartit le 17 juillet après avoir
remercié les habitants et le Premier Consul Franc de Conseil qu’il autorisé à
décorer son blason de la devise : Rex Fortissimo (le roi au très brave).
D'aucuns ont plus tard ronchonné sur les frais de fanfares, tambours et
d'artillerie, la tapisserie en cuir gaufré de la chambre de l'empereur réalisée
pour l'occasion et peu utilisée, les damassés des galères gâtés par les
embruns, les velours d'Avignon frangés de perles....et la "claque",
cris mille fois répétés de vive le roi et vive l'empereur, payée par le
connétable Anne de Montmorency organisateur de la fête ! On savait aussi à
cette époque soudoyer les acclamations de la foule.
Rabelais, alors
ambassadeur du roi et présent à Aigues-Mortes, relata ces fêtes dans le
Cinquième Livre, Chapitre 6 de ses œuvres : «
Dans cette île, vous n'avez que des cages et des oiseaux ; ils ne labourent ni
ne cultivent la terre. Toute leur occupation est de s’esbaudir, gazouiller et
chanter… N'ayez pas peur que le vin et les vivres manquent ici, car quand le
ciel serait de bronze et la terre de fer, les vivres ne nous feraient pas
encore défaut pendant sept ans, voire huit, soit plus longtemps que ne durera
la famine en Egypte. Buvons ensemble, en chœur, en communion.» Heureux de vivre nos
Camarguais !!François 1er n’oubliera pas Nîmes et en 1539 signe les lettres patentes qui autorisent la création de collège et université dans la ville, avec les mêmes privilèges et droits que pour les établissements de Paris, Poitiers et Toulouse. Lors de ses précédents passages il avait accordé à Nîmes en 1516 le taureau sur son blason, puis en 1535 le fameux blason au crocodile enchaîné. Parlant parfaitement le latin, c'est un grand amateur d'antiquités et d'histoire romaine. Mais pour sa visite de 1533, il impose aux consuls et aux nîmois une nouvelle taxe sur les lieux vacants, les garrigues, les rues et places !!
Lettres
patentes du mois de Mai 1539 « Par ces présentes, Nous créons, érigeons,
ordonnons et établissons en la ville et cité de Nîmes, Collège, Ecole et
Université en toutes Facultés de Grammaire et Arts seulement, et, pour la
conservation d icelle, donnons et octroyons à cette Université, Collège,
Facultés, recteurs, docteurs, maîtres gradués, étudiants et écoliers, bedeaux,
messagers, et autres officiers et suppôts de la dite Université, présents et à
venir, telle et semblable juridiction et puissance, autorité, privilèges,
immunités, libertés, exemptions et franchise qu'ont accoutumé d'en avoir les Universités
de nos bonnes villes de PARIS, POITIERS, TOULOUSE et autres du royaume. Et
pourront !es docteurs, maîtres et gradués d'icelle Université élire, instituer
et créer recteurs et tous autres officiers, sauf et réservé le conservateur des
privilèges royaux d’icelle, dont l'institution et provision nous appartiendra.
Si
donnons en mandement, par ces mêmes présentes, à nos féaux conseillers tenant
notre Cour de Parlement à TOULOUSE que ces présentes ils fassent lire, publier
et enregistrer, et de l'effet d’icelles ils fassent jouir la dite ville et cité
de NIMES.
Car
tel est notre bon plaisir.
Et
afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre
scel à ces dites présentes, sauf es-autres choses notre Droit et celui d'autrui
en toutes...
Fait
à FONTAINEBLEAU en MAI de l'An de Grâce 1539.
Signé:
FRANÇOIS PREMIER Contre-Signé: ANNE de MONTMORENCY, Connétable et Grand-MaîIre
de FRANCE »
Sources :Lionel d’Albouisse « Entrevue de François 1er
et de Charles Quint à Aigues-Mortes en 1538 édit. Lacour1909-2005 – Jean marie
Le Gall L’honneur perdu de François Ier
Payot 2015—archives départementales gard-hérault—archives nationales—BNF—B
Voisin-Escoffier Mathieu de Bargeton seigneur de Vallabrix site de Vallabrix
internet p22 et suivants---élements de la façade Renaissance de Vallabrix
milieu 16ème siècle probablement due à Mathieu de Bargeton. Photos
collection privée--Rabelais le Cinquième Livre,
Chapitre 6 -- fr.wikipedia.org/wiki/Entrevue_d%27Aigues-Mortes
--www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2009/07/25/01006-20090725ARTFIG00206--le-roi-contre-l-empereur-.php- Charles Marins Une ville oubliée Aigues-Mortes son passé son présent
son avenir Revue des Deux Mondes 3èpériode T1 1874 p780-816--Gazette de Nîmes n°865 -842 François Wiart---
élements de la façade Renaissance de Vallabrix milieu 16ème siècle probablement due à Mathieu de Bargeton- photos collec privée--
(François 1er Marignan anonyme - in
André Castelot François 1er édit Perrin 1999)
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