mercredi 6 mars 2019

La Bonne Ménagère 1900




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La Bonne Ménagère en 1900 :
 

(Jeanne Chauvin, Première femme à avoir reçu le titre d'avocat en France en 1900. –source magazine Madame Figaro)

Je viens de retrouver dans une malle un livre de lecture, niveau cours moyen de E F Alber. Date 1900. Connaissances usuelles, vérités religieuses, notions très élémentaires de sciences naturelles, vertus et défauts des enfants….
Voici ce que l’on enseignait à nos grand-mères en 1900. Décidément depuis qu’Eve a fauté, la société a la rancune tenace !!
Un chapitre est intitulé Economie domestique : la bonne ménagère. « Le domaine de la femme c’est sa maison ; c’est là qu’elle doit régner par sa vertu et ses charmes, et déployer librement toutes ses qualités….à elle appartient la douce mission de faire de son foyer une sorte de paradis terrestre où son mari et ses enfants se plaisent à demeurer….les qualités indispensables à une bonne ménagère : l’activité, l’ordre, l’économie dirigés par le bon goût et la délicatesse féminine…Levée matin, l’agile ménagère range, nettoie, met tout en ordre au plus tôt….Elle est le charme le plus attrayant de ce foyer d’où le mari et les enfants ne cherchent jamais à s’éloigner ; où ils reviendront toujours, attirés par la bonté, l’inaltérable bonne humeur, le dévouement de la mère ….cette femme qui s’oublie sans cesse pour faire le bonheur de sa famille…» Fénelon en rajoute : La jeune maîtresse de maison est « douce, simple, sage, ses mains ne méprisent point le travail ; elle prévoit de loin, elle pourvoit à tour ; elle sait se taire….On ne trouve en elle ni passion, ni entêtement, ni légèreté, ni humeur…d’un seul regard elle sait se faire entendre et l’on craint de lui déplaire… ». « Les repas apprêtés, elle demande à son aiguille mille travaux qui procurent des vêtements, à sa famille et de petits ornements à son logis »…Une grand-mère conseille ses petites filles : « le mari vaque aux affaires et aux occupations du dehors ; la femme veille au ménage et aux occupations intérieures… » c’est ainsi parait-il, que l’on parvient à une vieillesse avancée, sans avoir presque connu la maladie et les infirmités, dit-elle !

Je n’aurais pas été une « bonne ménagère » de 1900 : si j’ai aimé, quand j’y voyais encore assez, tricoter, bricoler, j’ai aussi mauvais caractère, je ne sais pas me taire, et une chatte ne retrouverait pas ses petits dans mon bureau !! Et puis j’ai beaucoup plus appris sur moi et sur les autres « en vaquant aux affaires du dehors » que devant mes casseroles… Autre temps !!




Fin 19è archiv Blois atelier de piqures usine Rousset
C’est oublier le travail des femmes, ne serait-ce qu’au 19ème siècle, nos arrière-grand-mères, ouvrières d’usine, lavandières, domestiques, nourrices et toutes celles qui travaillent aux champs avec leurs familles. Elles ont tout autant bâti notre pays que leurs hommes.
s  Geneviève Jonte © Collection privée pasteur en 1934
La Bible qui ne montre pas une verve féministe, nous dit : « Comment trouvera-t-on une femme vertueuse ? Son prix dépasse celui des perles ! ». Et pourtant, tout au long de l’Histoire des femmes se sont illustrées par leur courage, leur engagement.
Lors du second  concile de Mâcon de 585, une clarification linguistique aurait été évoquée : le terme « homo » désigne-t-il l’être humain en général, femmes comprises, ou seulement le sexe masculin (« vir ») ?. Dès le 16ème siècle la rumeur se répand que ce concile aurait débattu de l’existence d’une âme chez la femme. La question ne se posait évidemment pas, les femmes sont baptisées dès le début de la chrétienté, donc ont une âme. Certaines seront martyrisées pour leur appartenance religieuse. La citation de la Vulgate est : »Et Dieu créa l'homme (homo) à son image, à l'image de Dieu il le créa, mâle et femelle il les créa ». La question continua à se poser, pamphlets, discutatio, réfutation, surtout de penseurs luthériens ou calvinistes du 16ème-17ème siècle. La légende est tenace peut-être parce qu’elle arrangeait tout le monde, surtout masculin et politique, religieux.
Encore au 20ème siècle, des grands noms de la littérature et de la philosophie tiennent ce prétendu débat sur l’existence de l’âme des femmes pour vérité historique.
Dans notre pays pour écarter les femmes de la succession royale et du trône, on n’avait pas hésité à tordre la loi salique au début du 14ème siècle et d’une manière assez éhontée.

En 1405, Christine de Pisan, première femme de lettres à vivre de sa plume, dénonce la misogynie ambiante et les discriminations faites aux femmes. Notre Jeanne d’Arc vingt ans plus tard, ne pouvait pas devoir son courage et sa jugeote qu’à sa seule intelligence et force d’esprit  !! Jeanne et ses consœurs osant dire aux hommes qu’elles en avaient assez de leur guerre d’ego !!



Chez la charcuterie Olida en 1900, deux moustachus (qui n’ont pas l’air très actifs !) contre une vingtaine de femmes !

(Manufacture des Biscuits Leroy L'emballage Saint Amand (Cher))

15è/16è siècle, la Renaissance connait une concentration de femmes gouvernant le royaume seules ou en collaboration avec des rois, régentes ou non : Isabeau de Bavière, Anne de France, Anne de Bretagne, Louise de Savoie, Catherine ou Marie de Médicis…. Même les maîtresses royales vont avoir un rôle politique de premier plan, Agnès Sorel, Françoise de Châteaubriant, Diane de Poitiers…. Des gouvernantes, des dirigeantes de grandes maisons….avec un rôle politique, culturel, artistique…

(section ciné-armée française – Les femmes françaises pendant la guerre-femmes en guerre overblog)
En 1622 en France une Marie de Gournay soutient que la femme n’est pas inférieure à l’homme par nature mais par son éducation ou son manque d’accès à l’instruction. En Italie, en 1676 Elena Piscopia, la première,  obtient un diplôme universitaire. Au 17ème-18ème siècle c’est dans les salons des femmes que le siècle des Lumières prend son essor en favorisant les libres débats littéraires, scientifiques…
(1914-1918)
La Révolution de 1788-89 affichera une attitude singulière vis-à-vis des femmes, une valse-hésitation que l’on va trainer tout au long du 19ème siècle. Les veuves ou les nobles tenant fief peuvent voter mais elles ne sont pas directement éligibles. Pourtant on les voit très actives dans la rédaction des cahiers de doléances. Elles marchent sur Versailles en octobre 1789, ramenant le roi à Paris. Condorcet veut accorder le droit de vote aux femmes : «songez qu’il s’agit des droits de la moitié du genre humain ». Droit d’ainesse supprimé, laïcisation du mariage, divorce par consentement mutuel,  mais on va guillotiner Olympe de Gouges qui réclamait l’égalité politique entre hommes et femmes dans sa « Déclaration de droits de la femme et de la citoyenne ». Et on oublie les femmes lors de l’instauration du suffrage censitaire.
Pastel représentant Olympe de Gouges Olympe de Gouges

Petit à petit les femmes sont exclues du champ politique avec l'interdiction des clubs politiques de femmes par la Convention montagnarde, mais elles n’ont pas dit leur dernier mot et résistance des femmes sur les bancs du public lors des différentes assemblées, les Tricoteuses !!.
Les historiens de la Révolution ne sont pas tendres avec les femmes qui y ont participé et qu’ils ont souvent caricaturées : Manon Rolland est une intrigante, Olympes de Gouges une hystérique, Charlotte Corday une vierge sanguinaire, Théroigne de Méricourt une folle, Germaine de Stael un laideron lascif…..
En 1801 un projet de loi de Sylvain Maréchal voulant interdire toute culture aux femmes : défense d’apprendre à lire, écrire avec des arguments d’une bêtise sans borne et d’un sexisme crade. Et le Code Civil de 1804 déclare la femme incapable juridiquement, sous l’autorité de son père, mari, puis du conseil de famille une fois veuve. Napoléon n’aime pas les femmes, s’en méfiant comme de la peste. Des voix s’élèvent, Henri de Saint-Simon, Charles Fourier, mais l’élan est pris et l’adultère de la femme devient un délit puni de 3 à 24 mois, celui du mari seulement puni d’une amende ; l’avortement, la pratique ou l’aide à l’avortement sont punis de réclusion et même de travaux forcés pour le corps médical. On ne divorce plus à partir de 1816.

Industrie sardinière en Bretagne 1900 Etalage et séchage ND


Fabrique de fleurs artificielles 1900 Ambleny dans l’Aisne- remarquons les enfants.

Mais des frémissements de modernité : en 1832 le journal « La Femme Libre » est créé. Le viol devient un crime et non plus un simple délit. Mais c’est le père ou le mari qui sont considérés comme victimes !! C’est la période où Flora Tristan milite pour la cause des femmes. En 1838 la première école normale d’institutrices voit le jour.
La deuxième République, celle de 1848, rétablit le suffrage universel mais pas pour les femmes. 

Les Vénusiennes, des parisiennes qui avaient pris les armes lors de la révolution de 1848, montent au créneau : elles revendiquent l’accès à tous les emplois publics, civils, religieux et militaires, une constitution politique des femmes, le port du pantalon, obligation du mariage féminin à 21 ans, service militaire féminin et le doublement du service militaire masculin pour les hommes qui refuseraient les tâches ménagères. Trop radicales ou trop en avance sur leur temps elles vont servir de repoussoir de la cause féminine.
D’autres femmes poussent la cause des femmes, Désiré Gay, Georges Sand, Jeanne Deroin….Des journaux, La Voix des Femmes, L’Opinion des Femmes….
En 1849 Jeanne Deroin, ouvrière-lingère, se présente aux élections législatives. Proudhon pourtant socialiste bondit contre cette candidature : « L'humanité ne doit aux femmes aucune idée morale, politique, philosophique. L'homme invente, perfectionne, travaille, produit et nourrit la femme. Celle-ci n'a même pas inventé son fuseau et sa quenouille ». Nous sommes sous la Seconde République qui avait pourtant pensé à l’abolition de l’esclavage, la réduction du temps de travail, le suffrage universel masculin..….
Pierre Leroux en 1851 timidement propose une loi accordant le droit de vote des femmes aux élections municipales. La loi Falloux en 1850 fait obligation pour les communes de plus de 800 habitants d’avoir une école publique pour les garçons et les filles, mais enseignement pas encore gratuit ni obligatoire.
En 1861 malgré tout, une première bachelière en France Julie-Victoire
Daubié.


En Angleterre les Suffragettes donnent de la voix et il semble bien qu’un retour en arrière n’est plus possible pour toutes et tous.

Victor Duruy crée en 1867 les cours secondaires publics pour la gente féminine. Dix ans plus tard, le travail des femmes dans les mines et dans les carrières est interdit, de même que le travail de nuit pour les femmes non majeures. Le Syndicat féminin de la couture est fondé, premier du genre. Mais la constitution de la 3ème république de 1875 réaffirme la privation de droits politiques aux femmes !!


https://respectmag.com/dossiers/inegalites-homme-femme/2015/08/25/droit-et-lois-ont-ils-un-sexe-145/
En réponse Hubertine Auclert fonde en 1876 Le Droit des Femmes, groupe suffragiste. Elle proclame :  « Qui dit droit, dit responsabilité, la femme doit travailler, n'étant pas moins tenue de produire que l'homme, vu qu'elle consomme… qu'il y ait pour les deux sexes même facilité de production, et application rigoureuse de cette formule économique : à production égale, salaire égal ».
Les femmes ont enfin la possibilité d’intégrer une Ecole normale dans chaque département, d’accéder à l’enseignement universitaire. L’enseignement primaire devient obligatoire pour les garçons comme pour les filles en 1881 avec les lois Jules Ferry. Une femme reçue au concours de l’externat en médecine Blanche Edwards.

Mais toujours cette danse, un pas en avant, un autre en arrière : en 1884 le divorce est rétablit pour faute seulement et non par consentement mutuel. Et en 1889 Paul Robin installe à Paris le premier centre d’information et de vente de produits anticonceptionnels.
Le travail de nuit est enfin interdit en 1892 pour toutes les femmes et le port du pantalon jusqu’alors interdit depuis le Directoire révolutionnaire est autorisé pour se déplacer à bicyclette ou à cheval. Un peu plus tard les femmes peuvent témoigner dans les actes d’état-civil et les actes notariés. A la fin du siècle elles peuvent être électrices au tribunal de commerce.
A l’orée de 1900, nous avons quelques avocates, des femmes élèves de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts ; pour les femmes et les enfants les journées de travail ne doivent pas dépasser 10 heures contre 12 pour les hommes.

1901 c’est la création du Conseil National des Femmes françaises affilié au Conseil International des Femmes. Une première proposition de loi donnant le droit de vote aux femmes majeures, célibataires, veuves ou divorcées. On pense en haut lieu que les femmes mariées voteraient comme leurs maris, donc pas de droit de vote pour elles. Pourtant en 1903, le premier prix Nobel décerné à une femme pour Marie Curie, prix Nobel de physique.
1906 avec le couturier Paul Poiret, le corset est supprimé avec les robes à taille haute. C’est le début de l’émancipation féminine…
(atelier de cartonnage Tiers)





(radio-canada-ca Les femmes de l’Avenir-Maire)
Le mouvement est lancé : les femmes sont électrices et éligibles aux tribunaux de prud’homme, la loi sur les biens réservés pour que les femmes mariées puissent disposer de leur salaire, congés maternité de 8 semaines mais non rémunéré…Instituteurs des deux sexes touchent le même salaire, les institutrices obtiennent la rémunération de leur congé maternité, …Manifestation pour le droit de vote des femmes, création d’une section féminine au syndicat CGT, les employées des PTT voient leur congé maternité rémunéré…
Et Marie Curie reçoit le prix Nobel de chimie, deuxième prix prestigieux.
1911-1915 Coco Chanel raccourcit les juges, propose des vêtements simples et pratiques. La femme peut être sportive, avoir une vie professionnelle..
Les femmes seront très présentes lors de la guerre 14-18, et pas seulement comme infirmières, mais à la ferme, à l’atelier, à l’usine.

En Europe entre 1918 et 1920, les femmes obtiennent le droit de vote dans la plupart des pays. Pas encore chez nous.
En 1919 le Sénat refuse une proposition de loi pour le vote des femmes, pourtant acceptée largement par les députés (329 pour /contre 95). Clemenceau président de la Conférence de Paix de Paris ne donne pas suite à la pétition de 5 millions de femmes américaines contre le viol de guerre.
Mais les écoles supérieures, chimie, électricité, s’ouvrent aux femmes en 1919. L’année suivante les femmes mariées n’ont plus besoin du consentement de leur époux pour adhérer à un syndicat. Mais la vente de contraceptifs est désormais interdite. Toujours des petits pas…

En 1935-36-37, Pierre Mendès-France, maire de Louviers, comme d’autres maires fait élire 6 conseillères municipales supplémentaires avec seulement voix consultative. Trois femmes sont nommées au gouvernement de Léon Blum : Cécile Brunschvicg présidente de l’URSF, Suzanne Lacore et Irène Joliot-Curie. Et la Chambre des Députés pour la sixième fois vote par 495  voix contre 0 pour le vote des femmes, que le Sénat bloque à nouveau.

Les femmes sont autorisées à enseigner le latin, le grec et la philosophie ; matières réservées jusqu’alors aux hommes car plus intelligents ? Elles peuvent aussi obtenir un passeport sans l’autorisation de leur mari.
En 1938 une réforme du Code Civil supprime l’incapacité juridique de la femme qui ne doit plus obéissance à son époux.
Mais 1939-45 se profile à l’horizon avec des reculs importants. Dans les usines, dans les fermes les femmes prennent le relais des hommes. Mais la répression contre l’avortement et la contraception monte en flèche. Une militante pro-IVG Madeleine Pelletier est arrêtée et meurt six mois plus tard internée à l’asile. L’avortement devient un crime puni de la peine de mort. Divorce, accès aux emplois publics, tout devient plus difficile. En 1943 une avorteuse est guillotinée, Marie-Louise Giraud. (Madeleine Pelletier ci-contre)

Mais en 1942 le général de Gaulle promet une fois le territoire libéré le suffrage universel pour tous et toutes. Marthe Simard et Lucie Aubrac sont nommées membres de l’Assemblée consultative provisoire ; en 1944 10 femmes siègeront à cette assemblée. En 1944 dans la France Libre, de Gaulle à Alger, signe l’ordonnance qui donne le droit de vote et l’éligibilité aux femmes.

Un nouvel élan à partir de 1945 : à travail égal, salaire égal remplace la notion de salaire féminin dans la législation, premier vote féminin aux élections municipales, aux élections de l’asssemblée nationale constituante où 34 femmes seront élues, congé maternité obligatoire rémunéré de 8 semaines (50%du salaire et 100%pour les fonctionnaires)….
La Constitution de 1946 pose le principe de l’égalité des droits entre hommes et femmes.
Germaine Poinso-Chapuis devient la première femme nommée ministre. Une ère nouvelle s’ouvre devant nous, c’est le temps des Simone de Beauvoir, des Simone Weil, du planning familial, des Rosa Parks aux USA, du livret de famille pour les femmes célibataires, de la Tunisie de Habib Bourguiba, de la contraception de Neuwirth.
Mais nous devons nous rappeler que rien n’est acquis à jamais. Une amie chinoise me disait : « un battement d’aile de papillon et tout est à recommencer ».




(1930fabrique de plumes métalliques)

 G. Bruno, gravure Perot — https://archive.org/details/letourdelafrance00brunuoft Univ. of Toronto Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, manuel scolaire, édition de 1904. gravure Perot--wikimedia


  Sources : Poullin de La Barre, De l'Égalité des deux sexes (1673), 1691-- Abbé Joseph Dinouart, Le Triomphe du sexe, ouvrage dans lequel on démontre que les femmes sont en tout égales aux hommes, Paris, 1769 --- Jean-Pierre Moet, La Femme comme on n'en connaît point, ou Primauté de la femme sur l'homme, Londres, 1785-- Henry de Riancey- « Sur le prétendu concile qui aurait décidé que les femmes n'ont pas d'âme », in Annales de philosophie chrétienne, vol. 43, éd. Roger et Chernoviz, 1851, pp. 64-70,  --- Louis-Julien Larcher, La femme jugée par l'homme, 1858, ---Régine Pernoud, Pour en finir avec le Moyen Âge, éd. Seuil, 1979 --- Françoise Fabrer L’évolution de la femme depuis Adam et Ève --- photos collec privée-- www.egalite-femmes-hommes.gouv.fr/dossiers/actions-dispositifs-interministeriels/chronologie-des-dispositions-en-faveur-de-legalite-des-femmes-et-des-hommes/ --Maïté Albistur et Daniel Armogathe, Histoire du féminisme français. Éditions des Femmes, collection « Pour chacune », Paris, 2 volumes : Du Moyen Âge à nos jours, 1977. 508 p. ISBN2 7210 0133 7 De l'Empire napoléonien à nos jours, 1978. ISBN 2 7210 0134 5 ---- Christine Bard  Les Filles de Marianne, Histoire des féminismes, 1914-1940, Paris, Fayard, 1995 ISBN 2 213 59390 6---Michèle Riot-Sarcey Histoire du féminisme, La Découverte, collection Repères, Paris,  2002 ISBN978 2 7071 5472 9-- Elisabeth Badinter Fausse route : Réflexions sur 30 années de féminisme, Éditions Odile Jacob, Paris, 2003-ISBN 225611264x--wikipedia-----







  





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